Horizon : Le Mag' de Tirawa

Le Mag' de Tirawa : Carnet de voyage - Trésors du Mexique

Trésors du Mexique

Trésors du Mexique écrit par Christian JUNI :  Le Mag' de Tirawa

Carnet de voyage rédigé par Christian JUNI

Trésors du Mexique

- Trésors du Mexique -

Mexique, Amériques

L’immense terrain qui entoure San Isidro est propice à une randonnée matinale à la recherche d’oiseaux, mais la fraîcheur de l’endroit n’a pas incité les volatiles à sortir de leurs nids. Nous redescendons à Cerocahui pour visiter l’église de San Francisco de Cerocahui, fondée en 1680 par les Jésuites.

Les dômes en faïence de l’église de Cerocahui - Barrancas del CobreLes dômes en faïence de l’église de Cerocahui

L’église est consacrée à San Javier - Barrancas del CobreL’église est consacrée à San Javier

A côté de l’église, une école tenue par des sœurs Jésuites pour l’éducation des jeunes filles Tarahumaras - Barrancas del CobreA côté de l’église, une école tenue par des sœurs Jésuites
pour l’éducation des jeunes filles Tarahumaras

Ici nous sommes au cœur de la population indigène la plus particulière du Mexique : les Tarahumaras. Et les premiers qui ont été en contact avec cette population, pas toujours facile, ont été les Jésuites. Ce peuple semi nomade est très fier de son indépendance. Les Tarahumaras ou Raramuris vivent dans des petites maisons mais aussi dans des grottes en fonction de leurs déplacements. Il existe deux principaux groupes, les Alta et les Baja, ceux qui vivent en haut et ceux qui vivent en bas dans les canyons. Les femmes de cette ethnie se reconnaissent facilement à leurs robes très colorées. Hommes et femmes continuent de porter des « huaraches », des sandales faites de morceaux de pneus et de lanières en cuir. Raramuri signifie « ceux qui courent vite », et la région est connue pour les nombreux athlètes qui gagnent des courses de longues distances à travers le monde.


Vers midi, nous sommes de retour à la gare de Bahuichivo. Le train aura un peu de retard aujoud’hui…

Femme de l’ethnie des Tarahumaras - Barrancas del CobreFemme de l’ethnie des Tarahumaras

Un train de marchandise qui transite par Bahuichivo. Il est squatté par un certain nombre de « nomades des trains » qui vivent sur ou entre les wagons de marchandises ! - Barrancas del CobreUn train de marchandise qui transite par Bahuichivo. Il est squatté par un certain nombre de « nomades des trains » qui vivent sur ou entre les wagons de marchandises !

Il faut encore 1h30 de trajet pour arriver à la station de Posada Barrancas, l’un des deux points en contact avec le rebord du canyon du Cuivre ! Court transfert à l’hôtel Posada Barrancas Mirador. Cet hôtel profite d’une vue imprenable sur le canyon.

Le train passe sur l’un des ponts de cette ligne exceptionnelle - Barrancas del CobreLe train passe sur l’un des ponts de cette ligne exceptionnelle

Il y avait affluence ce jour sur la ligne. Le train était composé d’au moins cinq wagons ! - Barrancas del CobreIl y avait affluence ce jour sur la ligne. Le train était composé d’au moins cinq wagons !

Une vendeuse Tarahularas à la gare de San Rafael - Barrancas del CobreUne vendeuse Tarahularas à la gare de San Rafael

Hôtel Posada Barrancas Mirador - Barrancas del CobreHôtel Posada Barrancas Mirador

La Barranca del Cobre depuis l’hôtel - Barrancas del CobreLa Barranca del Cobre depuis l’hôtel

Les Tarahumaras sont spécialisés dans la vannerie - Barrancas del CobreLes Tarahumaras sont spécialisés dans la vannerie

Le bar de l’hôtel Posada Barrancas Mirador - Barrancas del CobreLe bar de l’hôtel Posada Barrancas Mirador

Coucher de soleil sur l’autre rive de la Barranca del Cobre - Barrancas del CobreCoucher de soleil sur l’autre rive de la Barranca del Cobre

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